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24 février 2007 6 24 /02 /février /2007 12:54

Voici un nouveau lien:

 

http://noise.amnesty.org/site/c.hhKPIVPEIsE/b.1363769/k.BBE0/Accueil.htm

 

Il a pour vocation la fermeture d'une zone de non droit:

 

GUANTANAMO.

 

Allez jeter un œil  et n’oubliez  pas de le reprendre en sortant, ce genre de site permet de savoir et faire savoir, plus question après de dire : «  oops !  holala Je savais pas…….. »

 

 

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24 février 2007 6 24 /02 /février /2007 10:53

Citation

 "Dans tout homme, il y a un peu de tous les hommes" (Georg Lichtenberg).

 

Certes, mais souvenons nous aussi qu’en tous les hommes, il y un peu de chaque homme ……

 Ce matin, j’inaugure une nouvelle « rubrique à brac », elle pourrait s’appeler « à méditer », mais depuis quelques mois, j’ai appris le véritable sens du mot méditation, je vous le raconterai un jour prochain. J’appelle donc ma rubrique : chatouillis aux méninges ou non pas je pense donc, je vis, mais je lis donc je pense … et quoiqu'il arrive: je pense donc je suis ...

 

 

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22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 05:42

Il est cinq heures. Tout dort encore. Au fil d’une nuit qui passe, la nature m’accompagne. De la noirceur et du silence de la mi- nuit, vient le bruit de la vie et de l’aube. Ils paillent, sifflent et chantent, proposent  à la nuit, l’éveil d’un matin prometteur.  La symphonie des  oiseaux  offre la lumière à l’obscurité ……..  Leur souriante mélodie  a coloré mes pensées et va  bercer mes rêves. Mon corps est las et mes pensées sereines, il suffit de quelques oiseaux pour habiller le silence et le trouver beau.

 

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22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 04:12

 

Elle nait souvent d’un rien

 Insignifiance transcendée

 Amie du grand et du vaurien

 Elle est envol d’une nuée d’idées.

 Elle est toujours colorée

 De mille et une teintes

 Elle apparait souvent bigarrée

 Vaine plainte ou belle sainte.

 Elle est faite d’amour

 Souvent d’impatience

 Sucre d’une pomme d’amour

 Et un rien de clairvoyance.

 Elle ne vit que dans l’errance

 Parfois elle trouve le chemin

 D’un cœur pour qui elle balance

 Le temps d’un tendre refrain.

 Amour entends là

 Prends là dans tes mains

Sur ton cœur berce là

Qu’elle  te réchauffe jusqu’à demain …

 

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22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 02:41

J’envoie une barque sur ton eau

La lumière d’un phare sur ton océan

 Juste  pleins d’amour quelques mots

 Qui, las, restent morts, là,  céans.

 

Triste sort que de se sentir  ignorée

 D’être par l’indifférence balayée, torturée

 De se croire irrémédiablement censurée

 A travers ce silence inopportunément avéré

 

Ne te l’ai-je pas dit cent fois ?

Silence, je te hais, laisse  moi

 Toi que j’ai tant aimé parfois

 Tu apportes  ce soir, angoisse et émoi.

 

Tu pénètres au plus profond de mon âme

 Elle s’assombrit et se colore en noir

 Elle passe du sourire aux larmes

 Parce qu’une réponse est sans espoir.

 

 

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21 février 2007 3 21 /02 /février /2007 21:39

En ce jour de saint valentin

Amour oublié renaitra

Soudain plus rien n’est incertain

En ce jour de saint valentin

Soleil à jamais ne s’éteint

Le cœur en émoi tout en fatras

En ce jour de saint valentin

Amour oublié renaitra

 

 

21 février 2007

D’après les rondels de Charles d’Orléans, rencontré sur le site           temps pestif (lien tout nouveau) à découvrir, c’est ravissant

 

 

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21 février 2007 3 21 /02 /février /2007 20:24

Exécutions imminentes

 ARABIE SAOUDITE     D.D. Ranjith De Silva (h), ressortissant sri lankais

                                        E.J. Victor Corea (h), ressortissant sri lankais

                                       Sanath Pushpakumara (h), ressortissant sri lankais

 Les trois hommes nommés ci-dessus ont été exécutés dans la matinée du 19 février, avec un quatrième homme, à Riyadh, la capitale saoudienne.

D’après une déclaration officielle du ministère de l’Intérieur faite le jour-même, les quatre hommes ont eu la tête coupée en raison du rôle qu’ils avaient apparemment joué dans une série de vols à main armée. Leur condamnation à la peine capitale avait été confirmée en appel, selon les informations recueillies. Les quatre hommes étaient détenus dans la prison d'Al Hair, à Riyadh.

 D.D. Ranjith de Silva, E.J. Victor Corea et Sanath Pushpakumara auraient été arrêtés en mars 2004. Ils avaient été condamnés à mort, tandis qu’un quatrième homme appréhendé en même temps qu’eux, du nom de Sharmila Sangeeth Kumara, aurait reçu une peine de quinze ans d’emprisonnement. Ils n’avaient pas bénéficié d’une procédure équitable, n’ayant pas été autorisés à être défendus par un avocat.

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21 février 2007 3 21 /02 /février /2007 19:17

Douze heures de voyage dans cet espace confiné, ça use, ça use, mais pas les souliers. Nous arrivons à Los Angeles. 11 septembre oblige, fini le parcage du « bétail » européen dans une zone de transit totalement fermée, nous franchissons l’immigration, la douane avec tous nos bagages. Résultat, nous pourrions si l’envie nous prenait sortir en ville et jouer les clandestins. Bref, inutile de chercher une logique à tout cela. Une grande promenade dans l’aéroport de L.A nous détend les petons et les genoux. Parce que ce n’est pas le tout, belote et rebelote encore dix heures à plier ses grandes jambes tant bien que mal et ce qui est amusant, c’est qu’elle les plie avec une bonne volonté bien plus affichée dans le sens aller. Elle a arrêté de fumer, il y a peu et regarde avec un brin de pitié ses ex congénères avaler frénétiquement quelques bouffées de nicotine et goudrons lors de cette escale inorganisée sur un trottoir de l’aéroport de L.A. Enregistrement, re les longs très longs couloirs, salle d’embarquement, douze heures  de vol et 9 heures de décalage ont amoindri les ardeurs des « c’est moi le prem’s ». Le captain et l’équipage vous souhaite la bienvenue…,  les consignes de sécurité, wroummmm  et c’est reparti. Dix heures où le sommeil commence à se faire plus présent, elles passent bien plus vite. Et enfin, Bonjour m’ssieurs dames, il fait 30 ° à Papeete, haaaaaa (disent ils tous en cœur), le commandant vous souhaite …et espère vous revoir bientôt sur nos lignes. Qu’il ne s’inquiète pas, ça va venir vite, mais là qu’importe on arrive ! Après presque 24 heures d’enfermement, elle n’a qu’une envie, c’est  respirer l’air frais du petit matin, elle sort de la carlingue, inspirant à plein poumon et se sent soudain imprégnée par une chaleur intense qui en une seconde l’a totalement envahie. Elle suffoque presque tant  la moiteur reçue s’oppose à la fraicheur attendue. Mais, là plus de doute, elle est aux antipodes. Elle a autour du coup un collier de fleurs odorantes qui lui réapprenne la chaleur du mot bienvenu.

Elle a quelques heures à tuer avant son vol pour Rangiroa. Elle hésite entre déambuler dans les rues de Papeete, louer une voiture et partir loin de la ville. Elle dépose ses bagages dans une maisonnée à l’avant de l’aéroport, une belle vahiné aux cheveux gris et au tour de taille avantageux, lui donne ces tickets de consigne en bavardant : « Paris ? Ha Paris ! ».  Elle a envie de voir l’océan, le lagon, la nature luxuriante. La voiture est petite, sans clim et c’est toutes fenêtres ouvertes, les cheveux au vent qu’elle redécouvre  les plages de sable noir, les grandes vagues où les surfeurs s’en donne à cœur joie, le sourire des Tahitiens, les forêts tropicales, les bougainvilliers, les frangipaniers  et toutes les odeurs qui les accompagnent. Il est temps de repartir. La belle vahiné lui souhaite bon voyage. Elle arbore son plus beau sourire, ici, c’est 20 kilos de bagage autorisés, surtaxe prévisible : gagné. On lui propose même un prix pour l’aller retour, elle décline l’offre, les petites îles ne regardent pas vraiment les poids.  L’avion est petit un ATR,  au décollage  tout vibre, le bruit est assourdissant. Le vol dure une heure environ, elle s’assoupit un peu, elle est ivre de fatigue, cumulant une nuit blanche et douze heures de décalage horaire. L’aéroport est tout petit, un grand  hall en bois, le toit recouvert de feuilles de palmier. Tout est conforme à ses souvenirs. Elle rassemble tous ces bagages et regarde si Cécile est là.

Cécile tient une pension de famille, quelques bungalows dignes des plus beaux hôtels hors de prix.  Mais, dans ces superbes hôtels de luxe, pas d’histoire de pêcheurs  le soir, à la table d’hôte. ! Cécile vient vers elle, l’embrasse comme si elle l’avait quitté la veille, lui offre un collier de fleurs. Les bagages, quelques minutes de pick up et elle peut enfin s’écrouler sur le lit. Elle ferme les yeux et entend le doux bruit du lagon, les vaguelettes roulent sur les débris de coraux qui remplace le sable. Elle regarde enfin, l’horizon est bleu, le lagon, le ciel. Elle vient pour plonger, elle imagine déjà les requins, barracudas, napoléons, anges, chirurgiens et des milliers d’autres et s’endort enfin bercée par le clapotis de l’eau.

 

 

 

 

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20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 01:09

 

Il existe sur cette terre des personnes terriblement tordues. Le hasard faisant toujours bien les choses, surtout quand il est aidé par un petit coup de main, je viens de réaliser que la charmante Dora que j'ai si civilement saluée lors de son inscription à ma new letter n'est autre que la maitresse de mon amant, étonnant hasard, me direz-vous ? Si j'étais aussi stupide et naïve qu'elle le suppose, j'aurais même pu y aller d'un : « que  le monde est petit ». Rendez vous compte, il existe sur le net des millions de blog sur le régime et voilà qu'elle tombe justement sur moi en toute innocence. Si j'avais encore en tête, mes cours de math, j'aurais volontiers poussé la curiosité jusqu'à faire un calcul de probabilité.

Mais, je préfère remonter dans le temps et  vous raconter. Je sortais, un matin de chez cet homme que j'aime et qui m'aime (quand on est sincèrement aimé, on le sait). Et au moment de partir dans ma voiture, j'ai vu une espèce de furie, se garer pile devant moi et me toiser en lançant un percutant : « bonjour Isabelle ». Je suis partie sans trop bien comprendre, je connaissais déjà son existence et du moment qu'elle restait un être sans visage, je n'y voyais même pas ombrage. L'exclusivité de fait ne rend pas l'amour plus fort, enfin, c'est moi qui le dit !!! Un peu plus tard,  j'ai rencontré un homme un soir à l'Olympia, nous avons passé une délicieuse soirée à écouter de la musique cubaine. Quelques  jours après, mon amour me raconta dans le détail cette soirée. Il m'a fallu quelques minutes avant de percuter, cette femme m'avait repérée sur le net et  avait combiné notre rencontre. Elle avait même poussé le vice jusqu'à  faire appeler cet homme alors que j'étais avec mon ami.  J'aurais sans doute pu me taire à la suite de ces « incidents », comme je pourrais le faire ce soir d'ailleurs. Seulement voilà, sans être pour autant revancharde, je ne tends jamais l'autre joue. L'histoire qui se construisait alors avec cet homme ne regardait que nous. Etant de nature droite et honnête, j'ai du mal à comprendre les manipulations, les scénarios à la Feydeau.  Il s'en est suivi une rencontre houleuse où j'ai mis les choses au point, tout du moins le croyais je !

Un sentiment était né en moi, à l'insu de mon plein gré : la jalousie. Une femme inconnue s'est octroyé le droit de rentrer dans ma vie sans que je l'y invite. Ces manipulations d'ado sur le retour m'ont ouvert les yeux sur un monde de mensonges, de fourberies qui me sont étrangers par nature. Je pourrais écrire un roman sur cette histoire, peut être le ferai je un jour d'ailleurs, elle est tumultueuse à souhait !  Ce soir, je tiens juste avec vous mes fidèles lecteurs à dire à cette femme que chaque jour qui passe m'éloigne de cette jalousie parce que je concentre tous mes efforts à la chasser de ma vie. La jalousie est un sentiment vil, sournois, sombre, suspicieux, pernicieux. Je me suis stupidement battue contre elle et elle s'est nourrie de moi. Aujourd'hui, plus le temps passe et plus je la regarde s'éloigner de mon paysage. Ce soir, Dora, je vous chasse symboliquement de ma vie en vous supprimant de la news letter de ce site que vous allez recevoir pour la dernière fois.  Adieu Dora, vous n'étiez bienvenue ni sur ce site intimiste, ni dans ma vie. Vous pourrez revenir comme tout un chacun lire ce que j'écris en toute liberté ici, mais ce sera sans mon aval et je ne serai en aucun cas complice de VOTRE jalousie mais  j'aurai réussi  par cet acte symbolique à m'éloigner encore de la mienne.

 PS: cela peut vous paraitre stupide, chers lecteurs, mais avoir écrit cet article m'a fait le plus grand bien. Encore un pas, un grand pas ... ...

 

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20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 00:05

Bon aller, ne faites pas les innocents, vous avez très bien remarqué que mon poids n’est plus d’actualité depuis 2 semaines, bin voui ! Mais, je me fais opérer la semaine prochaine des cordes vocales, ça va être bouillie pendant un moment. Bon, ok, c’est une excuse bidon, mais va falloir vous en contenter je n’ai que celle là en stock !! Si je redis que je suis une vilaine gourmande, si je répète que manger est parfois un plaisir, vous serez surpris ? Je ne craque pas sur des choses très compliquées. Une pomme peut à elle seule déclencher cette envie de plaisir lié au goût.  A vrai dire, ce soir, je me force un peu à écrire cet article, je n’ai pas envie de polémiquer avec moi-même sur ce sujet. Je ne suis pas certaine que cela soit un …évitement, ce n’est pas d’actualité. Je ne peux pas tout mener de front, j’avance dans d’autres domaines de ma vie, certains autres sont un peu en stand by. Je ne porterai pas et j’espère plus ce qui est au-delà de mes forces. Je sais maintenant que franchir certaines limites me met en danger, j’apprends

 

 

 

 

 

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Un Peu De Moi

  • : dépressive utopiste: isabelle
  • : une dépressive redécouvrant le monde semaine après semaine ...Une humaniste qui revit. écrire pour vivre, vivre pour écrire .
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  • isabelle Cassou
  • une depressive idéaliste qui veut croire en l'humain, qui n'acceptera jamais la communication à travers la violence, la guerre. j'ai la chance de vivre dans un pays où je suis libre de dire , d'écrire, le faire est un droit mais surtout un devoir
  • une depressive idéaliste qui veut croire en l'humain, qui n'acceptera jamais la communication à travers la violence, la guerre. j'ai la chance de vivre dans un pays où je suis libre de dire , d'écrire, le faire est un droit mais surtout un devoir

 

 

 

 

bricabracBLEU13.png

 

Chatouillis méningés

 

 

 

 

 

  Je ne peux pas dire

qui je serai demain.

Chaque jour est neuf

et chaque jour je renais.
Paul Auster

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