Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 18:02

 

 

 

 

 

http://corsi.c.o.pic.centerblog.net/779k1u82.gif

*

 

 

 

J’avais créé, il y a bien longtemps, une rubrique appelée:



LES  FEUX DE  L'AMOUR AU NET

 

 

Elle consistait à vous raconter quelques dialogues de haute portée intellectuelle et philosophique avec des messieurs sur un site de rencontres sur le net.
Je l’avais abandonnée n’étant guère présente sur ces sites ces derniers temps.
Ce weekend , un fait de ma vie personnelle, m’a incitée à y repointer mon nez.

Voici donc, quasi brut de cueille quelques dialogues frisant parfois le surréalisme.

Commençons par le classique: DROIT AU BUT

Lui: BONJOUR
À noter la majuscule qui signifie la plupart du temps suis au boulot , je navigue sur ce site histoire de...


Moi: bonsoir


Lui: ENCHANTE


Moi: moi zossi
Histoire de lancer le truc de manière sympa


Lui: CALINE?


Moi: hé bien, pas de perte de temps en préliminaires, hein ?


Lui: RIRE


Moi:  Et vous trouvez ça drôle ? Lol
En référence à un humoriste fort connu


Lui: OUI


Moi: bon, d’accord, parfait !
Un rien agacée , j’dois bien le dire


Lui: MON AGE VOUS DERANGE?
Il a environ 12 ans de moins que moi, pas tout à fait cougard qui fait les sorties de maternelles, tout de même !


Moi: s'il n'y avait qu'ça, mon pov' monsieur !
J’essaie désespérément de faire passer l’message, mais ...


Lui: ???


Moi: mdr ! aller bonne soirée et mes amitiés à  Germaine ... heu enfin à qui vous voulez ...


Si vous aimez et si vous êtes très sage
Une suite très bientôt ....

 

 

*Toute ressemblance entre cette pin-up et moi serait tout à fait

fortuite,involontaire et excessivement improbable !

 

 

 


Partager cet article
Repost0
4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 13:14

 

 

 

 

 

 

 

Facebook fait parler.
Certains en ont peur, d’autres sont accro ...
J’ai mis beaucoup de temps à m’y mettre, pas pour des raisons de trop grande tracabilité,
J’assume ce que je dis et pense. Le fait d’être en dehors du monde du travail m’y aide surement.
Bref, FB (facebook) ne m’a pas séduite simplement parce que je ne comprenais pas ce que cela pourrait m’apporter.
Au fil du temps, j’ai élargi mon horizon, des connaissances se sont liées par affinités.
L'intérêt ? me direz vous
Pour ma part, je n’en vois qu’un et pas des moindres, LE PARTAGE, partage d’idées, partage de coups de coeur, partage de révolte.
Au delà des personnes, c’est une incroyable mouvance d’opinion, artistique, politique, sociale.
La probabilité de rencontrer toutes ces personnes dans la vie est de quasi zéro,
Oui, mais tout cela est virtuel, diront certains, vous le croyez vraiment ? Moi, non, derrière tout écran, tout clavier, il y a un humain et c’est lui qui m'intéresse.

Re bref, aujourd’hui, j’ai regardé cette vidéo, grâce à une «amie» FB
J’ai adoré , alors je partage
Le surréalisme a encore de beaux jours devant lui, non ?

 

 

 

Partager cet article
Repost0
4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 12:13

 

 

 

http://farm4.staticflickr.com/3464/3404297048_1e4d4da0cb_b.jpg

 

1 CLIC SUR L'IMAGE POUR L'AGRANDIR

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
3 mars 2012 6 03 /03 /mars /2012 21:43

 

 

 

 

http://farm8.staticflickr.com/7054/6946675165_53c43ca9ef_b.jpg  

 

1 CLIC SUR L'IMAGE POUR L'AGRANDIR

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 18:08

 

 

 

 

TFS_Celestial_moon9.png

 

 

 

 

 

 

 

Ecrire, écrire,

Poser les mots,

Poser les fardeaux,

Libérer l’âme

Vider les larmes

Ouvrir son cœur

Hurler sa peine

 

Écrire, écrire

  Ces mots

Qui reviennent

Et  à nouveau,

S’emboîtent

 

Écrire, écrire

Trahison

Poison

Mensonge

Qui ronge

Méchanceté

Cruauté

 

Écrire, écrire

 

Huit ans,

Huit ans à me battre contre une maladie quasi invisible.

Huit ans,

Huit ans à combattre le trop-plein d’émotions

Huit ans,

Huit ans à analyser, à chercher,  à dépouiller

Huit ans,

Huit ans à croire, à vouloir, à essayer…

 

Alors que je me sens mieux

Alors que je passe une nuit à disserter sur le bonheur,

Il suffit de quelques mots adroitement aiguisés

Pour que le château de cartes

Toujours si fragile,

S’écroule avec brutalité

 

Et là

J’ai juste  mal,

Je me sens trahie,

Trahie par ce que j’aime

En colère

 

Écrire, écrire

Hurler

que je suis

Ébranlée

Inondée

Cassée

Épuisée

Vidée

 

Écrire, écrire

que

Je hais cette maladie

Je hais ce mal sournois

Je hais cette faiblesse

Qui m’envahit avec force

Et me laisse à terre

 

Il me faut écrire

Il me faut dire

S’il le faut,

Il me faut crier

Me libérer

Hurler

Chasser les nuages

Chasser la noirceur

Ne pas les laisser m'envahir

Oublier

Glisser

Prendre du recul

 

Les larmes coulent

Indomptables

Ingérables

Il me faut raisonner

Penser à l’instant d’après

Prendre le pas

Ne pas les laisser me submerger

Ne pas les laisser me détruire.

 

Me battre,

Me battre encore et toujours

Contre cet ennemi invisible

Indicible

Ennemi  intime

Qui bouffe de l’intérieur

Qui se nourrit du vide

Avide d’émotions

Je le hais

Réduite à l’impuissance

A terre

A terre

 

Wissous, le 2 Mars 2012

 


 

La dépression, c’est ça,

Ecrire sur le bonheur une grande partie de la nuit

Et le lendemain, sur quelques mots intentionnellement méchants,

Etre l’espace d’un instant totalement démunie.

Être envahie par une grande colère

ne pas savoir contre qui la retourner

Être tentée de la retourner contre soi pour ne blesser personne.

 

Je peux  comprendre que vous ne compreniez pas.

Je ne suis même pas sûre qu’il y ait quelque chose à comprendre.

Ce que je sais par contre,

c’est tout ce que cela peut avoir de déstabilisant

au quotidien, à la longue

Pour moi, mais aussi pour mes proches.

Je ne peux pas grand-chose

contre cet envahissement inopportun d’émotions

Que je sais trop fortes, sans maîtrise,


Pourtant, il y a huit ans que je combats


A l’instant où je ressens cette terrible noirceur arriver

Je la reconnais,

je la sais  dangereuse

Je sais qu’il me faut la chasser,

car la regarder en face,

J’en suis encore incapable.

 

Écrire, dès le début,

a été pour moi une sorte de délivrance, d’exutoire

Comme si, au fur et à mesure,

que les mots noircissent la page blanche

Je m’en libérai.

 

 


 

Ne vous inquiétez pas, ça ira…

J’en ai vu d’autres

Et j’en verrai d’autres

Ainsi va la vie

...

 

 

 


 

Partager cet article
Repost0
2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 14:09

 

 

 

 

a161586.jpg

 

 

Celles -ci sont sans nul doute plus anciennes

fin 19 éme

le costume de bain est encore très "couvrant"

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 02:43

 

 

http://farm8.staticflickr.com/7070/6945286737_bbfe893db3_o.jpg

 

 

 

 

Le  bonheur
 
Définition : état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l’esprit et du corps, d’où la souffrance, le stress, l’inquiétude, et le trouble sont absents.
 
J’ai essayé de retenir, afin d’étayer mon propos, une définition plutôt complète de ce mot fort dévoyé et si mainte fois décrit ou décrié.
 
En piochant par ci par là, il existe au delà des très nombreuses divergences sur le sujet, quelques axiomes reconnus par les philosophes, psy en tous genres et autre sommités définissant le bonheur comme étant relatif et subjectif.
Les sociologues ne prennent pas la peine d’étudier le phénomène puisqu’il l’estime bien trop changeant d’un individu ou d’une société à l’autre.
 
Le bonheur est donc une notion abstraite qui consisterait à ce  que chacun imagine ce qui pourrait le rendre heureux.
Il semble que la plupart des philosophes l’estime, dés lors, illusoire voire inatteignable car placé bien plus dans l’imaginaire de chacun que dans une réalité tangible.
 
Alain écrit : « Espérer, c’est être heureux. »
Selon Epicure : « il est impossible d’être heureux sans être sage »
Spinoza oppose le bonheur à la passion
Malraux pense : « le bonheur est pour les imbéciles. »
Kant estime : « « Le bonheur est la satisfaction de toutes nos inclinations (tant extensive, quant à leur variété, qu’intensive, quant au degré, et aussi protensive, quant à la durée) » il l’estime donc impossible.
Nietzsche nous dit : «Celui qui ne sait pas se reposer sur le seuil du moment pour oublier tout le passé, celui qui ne se dresse point, comme un génie de victoire, sans vertige et sans crainte, ne saura jamais ce que c'est que le bonheur»
Le bonheur, qu’on le considère simplement comme étant un état  de béatitude, ou qu’on l’inscrive dans la durée, ne serait qu’une quête interminable, une sorte de but inatteignable.
 
Je n’ai pas pour habitude et vous le savez de tenir des discours trop didactiques.
J’ai toujours essayé autant que possible de parler en mon propre nom.
La philosophie est pour moi une notion d’importance. Lire ou s’imprégner de ce que d’autres ont écrit, de la pensée hautement réfléchie des uns et des autres est, j’en conviens, la possibilité par la connaissance d’avancer dans ses réflexions plus personnelles et intimes. Pourtant, il me semble réducteur de s’y enfermer. J’ai lu, comme tout un chacun, certains écrits philosophiques. Je n’éprouve, cependant, pas le besoin de systématiquement les lire. J’aime, ainsi que je le fais, là maintenant, aller piocher les pensées des uns et des autres sur un  sujet non pas nécessairement pour les faire miennes mais plutôt dans le but d’étayer mon propre jugement.
Certains hausseront les épaules en pensant qu’effectivement ce que je peux dire par la suite aura été bien mieux défini et décrit par des philosophes reconnus et célèbres, d’autres me trouveront bien prétentieuse en ne considérant pas comme parole d’évangile tous ses écrits illustres.
 
Je me rends compte que le bonheur alors qu’il serait une sorte d’idéal, se retrouvent bien souvent opposé aux sentiments passionnels, au désir, au plaisir, comme si ces notions de par leur caractère s’opposant à la « morale », les rendaient incompatibles avec ce « graal » qu’il ne convient pas d’entacher.
Freud considère que le bonheur est inaccessible de par l’impossibilité d’accepter ou avouer ses désirs.
Lacan estime que le «manque» rend le bonheur improbable.
Jung et autres confrères l’estime « basé sur l’amour et l’être plutôt que sur la peur et l’avoir»
Chamfort syphilitique au dernier degré écrit : «Le plaisir peut s'appuyer sur l'illusion, mais le bonheur repose sur la réalité.»
Le philosophe actuel approche cette notion de bonheur de manière beaucoup moins « morale ». Il serait une sorte de « satisfaction globale » mélange d’une quête spirituelle, quotidienne, psychologique. Il s’inquiète, cependant, du risque d’une quête bien plus matérielle dans nos sociétés de consommation.
 
Ces pensées de « l’autre » sont, pour moi, un point de départ d’une réflexion plus intime.
Plutôt que de savoir ce que pourrait être le bonheur pour l’un ou pour l’autre, il me serait sans doute plus utile d’en connaître ma propre définition.
Avant toute chose, il est sans doute important de rappeler que j’ai, depuis bien longtemps, remis en cause la belle morale judéo-chrétienne qui me fut dispensée, en mon jeune âge.
Le sexe, le désir, le plaisir sont, pour moi, des notions qui ne sont en rien entachées par le mal. J’irai même jusqu’à croire, que si Dieu nous a créé tel que nous sommes, c’est-à-dire éprouvant désir et plaisir, il ne peut l’avoir fait que pour notre bien.
Pourquoi devrait-on estimer que le bien-être sexuel ou non serait nécessairement l’œuvre du diable ?
Pourquoi l’homme devraient-ils systématiquement culpabiliser alors qu’il éprouve ce bien-être ?
 
Qu’est-ce donc pour moi que le bonheur ?
Grande interrogation, me direz-vous, pour une dépressive patentée !
Depuis toujours, bien avant que cette dépression n’entre dans ma vie, j’ai cultivé avec soin tout ce qui peut être « petit bonheur », tous ces petits riens qui à un instant T rendent la vie belle, toutes ces petites choses qui n’ont l’air de rien mais qui pourtant installent dans nos cœurs, le temps d’un instant, une joie indicible.
J’ai toujours su, au moment où je les vivais, les définir comme étant du bonheur. Et de là à les considérer comme étant LE bonheur, il n’y a qu’un pas.
Étant dépressive, ayant connu la noirceur, la mélancolie, la tristesse, les ayant éprouvés avec une force qui, encore aujourd’hui, me terrifie ; ce pas, j’ai de plus en plus envie de le franchir.
Je suis loin de tout savoir, mais je sais que jamais rien n’est figé, j’ai appris que ni le malheur, ni le bonheur ne sont constants.
J’admire ces personnes qui, grâce à des philosophies diverses souvent bouddhistes, zen, empreintes d’une belle sagesse, d’une sérénité à toute épreuve s’estiment ancrées dans un bonheur sans faille.
Pourtant, comment peut-on vivre dans ce monde en y voyant que le beau, le bon ?
Est-il sain alors que ce monde est tel qu’il est, aujourd’hui, de n’y voir que ce qui nous rassure ?
Est-il de bon aloi de mettre une bonne dose de fatalisme entre une réalité rêvée ou supposée et LA réalité bien plus brutale ?
Voilà que je m’égare …
 
Je suis, pour ma part, convaincue que l’homme ne peut se définir comme n’étant qu’un mélange d’instinct et de raison, il possède tout un panel d’émotions qui, qu’il le veuille ou non, entacheront les deux autres.
Ces émotions sont, elles aussi, impalpables, indomptables, bien peu maîtrisables parfois, sujettes, elle aussi, à subjectivité et relativité. Elles varient d’un individu à l’autre, d’une culture à l’autre.
Faut-il sous prétexte qu’elles puissent être parfois encombrantes, refuser de les écouter ? Refuser de les éprouver ?
La dépression, la vie me font répondre par la négative.
Ces émotions sont, à mon avis, ce que je suis. Elles sont : moi. Les refouler serait parfois bien plus confortable,  Pourtant, dès lors, j’aurais l’impression de me mentir, d’en  quelque sorte refouler l’instinct en le maquillant d’une bonne couche de raison.
Je crois que le bonheur pourrait être une sorte de juste milieu où instinct et raison se marient pour mieux laisser vivre l’émotion.
L’émotion étant une inconnue dans cette équation, le bonheur, tout autant que le malheur d’ailleurs, serait un état aléatoire excessivement difficile à reproduire.
 
Cependant, étant d’une nature optimiste et aventureuse, ce bonheur que j’ai eu la joie de toucher du bout de l’âme, des doigts ou du cœur, ça et là, j’ai nécessairement envie de le retrouver, de le vivre.
N’étant pas, hélas, détentrice d’une belle recette conduisant au bonheur, j’essaie de, sans cesse, redéfinir ce qui m’amène au bien-être, ce peut être un plaisir charnel, intellectuel, spirituel, un état de grâce ponctuel où, moi qui ai connu les sombres horizons, je ne vois que le bleu des cieux.
 
Faut-il croire au bonheur ?
Aspirer au bonheur rend, d’évidence, la vie bien plus belle. Cependant, alors qu’il deviendrait une quête quasi obsessionnelle, celle-ci pourrait mener à une insatiable frustration.
Ayant éprouvé ces hauts et ces bas psychiques induits par la dépression, j’en tire des leçons.
Monter trop haut conduit aux mêmes dangers que descendre trop bas.
Alors, afin de satisfaire à ma vie, j’ai compris qu’avant tout, il faut la vivre.
Aussi, dès que je peux, autant que je le peux, je cultive tous les petits morceaux de ciel bleu qui composent ma vie, tous les petits bonheurs, tous les petits riens qui me conduisent à cet état éphémère que l’on nomme :
Le bonheur.
J’ai appris que la vie se conjugue uniquement au présent.
Si le passé sert de leçon, il ne doit pas entretenir remords et regrets.
Si l’avenir paraît triste ou, au contraire,  prometteur, il est par définition incertain et, surtout, indépendant de ma volonté.
Je prends, dès lors, ce que la vie m’apporte, essayant, parfois avec difficulté, de relativiser « les malheurs ». Mais, avant tout, je me fais un devoir de me délecter, de savourer, de me rouler dans tout ce qui est bon, beau, et source de bonheur…Je n’en méprise aucun, je n’en boude aucun et  je les sais bien trop précieux pour faire la fine bouche ou établir une quelconque hiérarchie. Chaque petit bonheur devient alors : Le Bonheur, celui-là même qui porte majuscule …
Et, Allez savoir, peut-être que le jour où je traiterais le malheur avec autant d’acharnement inverse
Serai-je heureuse ?

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 15:47

 

 

 

-in-wooly-bathing-suit-and-scarf-on-her-head-with-parasol.jpg

 

 

Je les chine depuis bien longtemps

sur le net

dans les brocantes

je les aime ...

 

Les Baigneuses

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 15:25

 

 

 

a-Venise-4596.jpg

 

 

Fenêtre ouverte

 

au propre comme au figuré

 

 

 

Vous le savez, j'aime les fenêtres ouvertes ....

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 00:53

 

 

 

 

2009-janvier-0342.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0

Un Peu De Moi

  • : dépressive utopiste: isabelle
  • : une dépressive redécouvrant le monde semaine après semaine ...Une humaniste qui revit. écrire pour vivre, vivre pour écrire .
  • Contact

Profil

  • isabelle Cassou
  • une depressive idéaliste qui veut croire en l'humain, qui n'acceptera jamais la communication à travers la violence, la guerre. j'ai la chance de vivre dans un pays où je suis libre de dire , d'écrire, le faire est un droit mais surtout un devoir
  • une depressive idéaliste qui veut croire en l'humain, qui n'acceptera jamais la communication à travers la violence, la guerre. j'ai la chance de vivre dans un pays où je suis libre de dire , d'écrire, le faire est un droit mais surtout un devoir

 

 

 

 

bricabracBLEU13.png

 

Chatouillis méningés

 

 

 

 

 

  Je ne peux pas dire

qui je serai demain.

Chaque jour est neuf

et chaque jour je renais.
Paul Auster

Les Vintages

En Musique ...

je grandis