Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
22 février 2007 4 22 /02 /février /2007 05:42

Il est cinq heures. Tout dort encore. Au fil d’une nuit qui passe, la nature m’accompagne. De la noirceur et du silence de la mi- nuit, vient le bruit de la vie et de l’aube. Ils paillent, sifflent et chantent, proposent  à la nuit, l’éveil d’un matin prometteur.  La symphonie des  oiseaux  offre la lumière à l’obscurité ……..  Leur souriante mélodie  a coloré mes pensées et va  bercer mes rêves. Mon corps est las et mes pensées sereines, il suffit de quelques oiseaux pour habiller le silence et le trouver beau.

 

Partager cet article
Repost0

commentaires

J
Salut Isabelle et  joyeuse fête !<br /> Ton univers est charmant, un grand merci pour avoir fait un lien vers Temps Pestif
Répondre
I
Bonjour, votre site est une ode à la poésie, délivrant une  technique parfois pesante et empesée pour la rendre festive et ludique. Depuis la création de mon blog, je vais regarder chez les autres pour le plaisir des yeux, des pensées, et parfois pour chaparder des idées. Difficile dans cet immense océan de prendre dans sa main la goutte d’eau qui vous fait chavirer, vous êtes  l’une d’elles et je vous ai précieusement conservée, éclairée de ma petite flamme et offert aux quelques regards qui me rendent visite. <br />  Merci pour ma fête, tiens, vous êtes le deuxième ! 3 commentaires sur cet article, c’est vrai, c’est la fête ! Sourire. <br />  Isabelle.<br /> <br /> <br /> <br />  <br />  
S
Bonne fête Isabelle !<br /> Il est vrai que les chants d'oiseaux nous donnent de la joie au coeur, par la gaieté de leurs trilles et involontairement ils nous transmettent leur grande confiance dans le jour qui vient, et pourtant pour eux aussi , beaucoup d'incertitudes devant eux...  Jolie cette sitelle !  <br />  
Répondre
I
la sitelle est involontaire puisque je reconnais ne pas connaitre le mot, bien que j'en devine la définition. j'ignore si elle est jolie mais elle esrt le reflet de mon âme en temps réel sans le vernis qu'impose le souvenir. en ce moment, je confonds un peu jour et nuit, et si tout cela n'avait aucune importance, si  je ressens mieux mes mots et mes maux la nuit, pourquoi briser leur existence ? depuis ma déprime j'ai désacralisé deux mots: inspiration et méditation, juste parce qu'ils ne sont plus une absraction, mais une tangible réalité.<br /> j'avoue que jalousement et égoistement cette nuit, je n'ai pas pensé au sort de ces oiseaux si affreusement maltraités par un homme arrogant et stupidement supérieur à tout.<br /> merci pour ma fête, vous êtes la première à me la souhaiter.<br /> isabelle.
M
Quel plaisir que de lire au matin ,toi qui sais si bien donner une ame aux mots.., je ne reponds pas souvent mais tous tets ecrits me touchent, merci de nous faire partager ses moments, durs, emouvants, souriants....Bisous de nous 4
Répondre
I
merci, Marion, je n'ai trouvé le temps d'aller mettre un avatar sur tes perles, je me fais opérer des cordes vocales semaine prochaine, je ne pourrai pas parler alors, je vais pouvoir écrire encore plus, lol et j'irai te visiter en prenant mon temps.<br /> bisous à tous les 4.<br /> isabelle.<br />  

Un Peu De Moi

  • : dépressive utopiste: isabelle
  • : une dépressive redécouvrant le monde semaine après semaine ...Une humaniste qui revit. écrire pour vivre, vivre pour écrire .
  • Contact

Profil

  • isabelle Cassou
  • une depressive idéaliste qui veut croire en l'humain, qui n'acceptera jamais la communication à travers la violence, la guerre. j'ai la chance de vivre dans un pays où je suis libre de dire , d'écrire, le faire est un droit mais surtout un devoir
  • une depressive idéaliste qui veut croire en l'humain, qui n'acceptera jamais la communication à travers la violence, la guerre. j'ai la chance de vivre dans un pays où je suis libre de dire , d'écrire, le faire est un droit mais surtout un devoir

 

 

 

 

bricabracBLEU13.png

 

Chatouillis méningés

 

 

 

 

 

  Je ne peux pas dire

qui je serai demain.

Chaque jour est neuf

et chaque jour je renais.
Paul Auster

Les Vintages

En Musique ...

je grandis