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9 décembre 2010 4 09 /12 /décembre /2010 22:28

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6 décembre 2010 1 06 /12 /décembre /2010 16:24

 

 

 

Vous l’avez sans doute entendu, Cantona fait le buzz sur la toile, relayé par les médias.
L’idée est de retirer massivement son argent des banques à une date précise afin d’accomplir un geste révolutionnaire.

La chose est simplissime et  elle représente une réelle menace économique.

Que déduire du fait que cette idée pourrait prendre vie ?

Le «peuple» a été et est encore le véritable pigeon de la crise financière, les sommes pharaoniques dépensées par les états «riches» se sont muées en emprunts qu’il nous appartient aujourd’hui de rembourser, nous, petites gens.

Les économistes se cachent derrière des discours techniques et confus mais les faits sont là:  2+2 feront toujours 4, 0+0 la tête à toto, la nouvelle économie veut remettre en cause l'arithmétique comptable et nous berce de belles paroles.

Pas besoin de sortir de Saint  Cyr pour comprendre que la base reste le dindon de la farce, qu’elle est muselée et condamnée à obéir sans révolte.

Cette vidéo dure une douzaine de minutes et parle d’elle même.

Cantona joue les Robins des bois, oui, sans doute, et il en faut, des personnes qui crient aux autres, ne laissons plus faire, refusons un système qui nous fait courir à notre perte .

Je connais peu cet homme, mais je trouve cette idée somme, toute symbolique, diablement assez simple pour être un véritable danger pour les banques.
Et par les temps qui courent leur faire douter de leur «toute puissance» est une nécessité économique et sociale.

 

 

 

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6 décembre 2010 1 06 /12 /décembre /2010 16:19

 

 

 

En dehors du fond cette fois, j’ai entendu ce joli discours de Mme Lagarde, avocate de métier, qui emploie un ton très condescendant qui , pour ma part, me révolte.
Quel est sa formation en matière économique pour donner ainsi des leçons ?

Nous sommes , cette femme nous le prouve encore aujourd’hui, gouverné par quelques happy few détenant la «vérité», qu’il est mal venu de remettre en cause, pas seulement en tant que footeux professionnel mais  comme citoyen responsable.
Cet homme a tout à fait la légitimité de retirer des banques SON argent et de ne plus faire confiance à un système qui nous musèle et creuse toujours un peu plus les inégalités.

Sommes nous loin, aujourd’hui, des conditions qui ont amené le peuple français à la révolution en 1789 ?
La question se pose.

 

 

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6 décembre 2010 1 06 /12 /décembre /2010 15:32

 

 

 


L’idée est incroyablement simple
Peut être est ce pour cela qu’elle fait peur à certains

 

 

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5 décembre 2010 7 05 /12 /décembre /2010 19:50

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ne pas s'y méprendre, c'est un mâle !!!!!

Mr Coquette

 

 

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5 décembre 2010 7 05 /12 /décembre /2010 17:55

http://1.bp.blogspot.com/_5BdG9hQmm5Q/SY8CU8i8cXI/AAAAAAAADe4/2R-1DrTR6MI/s400/m-pour_mon_blog_gens_du_voyage_5.jpg

Il y a quelques jours, je vous ai promis une histoire. Elle avait lieu aux marquises. Elle racontait un changement de vie.

Mais voilà parfois la réalité rattrape la fiction et aujourd’hui, je vais vous raconter une histoire bien moins  glamour, nul besoin de parcourir des milliers de kilomètres pour que la vie nous en inspire le triste récit.

 

J’habite un petit village à côté d’Antony, un village banal, un village comme un autre peut-être même un peu plus calme que la plupart des villes alentour, un village où ,bon an mal an,  il fait bon vivre, pour une grande majorité de la population sauf …

 

Ces derniers jours,  le froid a sévi, la neige, du verglas, des températures très basses sont entrées dans nos quotidiens. Nous râlons, montons un peu le chauffage, sortons les pull-overs et les manteaux bien chauds et continuons à vivre.

 

Mais dans ce petit village du sud de Paris, il y a, tout près des pistes d’Orly, une cinquantaine de personnes dont de nombreux enfants, qui vivent à longueur d’année dans des caravanes.

Depuis quelques jours, les fils électriques qui courent sur le terrain, brulent  les uns après les autres étant incapable de fournir assez d’énergie pour chauffer toutes les caravanes.

Depuis quelques jours, les arrivées d’eau non protégées contre le froid, gèlent les unes après les autres, empêchant de pouvoir laver le linge.

 

La suite de l’histoire pourrait être : une belle solidarité de village, l’envoi de vêtements chauds, le don de vivres pourquoi pas, une intervention des pouvoirs publics afin que ces personnes puissent se chauffer correctement.

 

Mais il n’en est rien.

 

Ces gens sont des gens du « voyage », bien qu’ils soient sédentaires depuis des dizaines d’années, bien qu’ils séjournent sur la commune depuis des dizaines d’années, de génération en génération, ils sont devenus au fil du temps des parias. Et si la population, la mairie, les services sociaux les regardent d’un œil plein de méfiance, il y a ,en tout état de cause, de bonnes raisons.

 

Tous les bien-pensants, tous les bons Français travailleurs, tous les gens bien intentionnés à qui j’en parle ne tiennent tous à peu près le même discours :

Ils ne veulent pas s’en sortir, il n’y a aucune volonté de travailler et de sortir de cette ornière

Ils volent, ils boivent, ils ont trop d’enfants, ils vivent aux crochets du système, ils ne tiennent pas à être intégrés, ils sont assistés, etc., vous vous doutez que la liste des discriminations est très longue.

Et tous ces griefs futiles ou non sont le strict reflet de la vérité bien qu’émanant de jugements péremptoires.

 

Aussi, lorsque l’assistante sociale, râle pour donner des bons de gaz ou de vivres par ces grands froids et alors qu’elle m’expose de bonnes raisons pour ne pas faire diligence à la minute près, alors qu’elle me demande : « qu’en pensez-vous Mme Cassou ? Ai-je tort ? » ; Que lui répondre ?

La seule chose qui est aujourd’hui une  réalité tangible :

50 personnes dans une misère noire,

50 personnes livrées au froid,

50 personnes démunies, perdues, sans ressources,

17 enfants subissant quoi qu’il arrive la mauvaise réputation de leurs parents.

 

Ces personnes sont cloîtrées  dans leur caravane, commencent à avoir peur pour les enfants.

Certains d’entre eux sont malades et passent leurs journées emmitouflées dans des couvertures.

Leur moral est au plus bas, une d’entre elles m’a dit : « nous vivons comme des chiens, nous ne sommes pas des chiens ! ».

 

Je ne souhaite porter de jugement contre personne dans cette histoire.

 

Ces gens du voyage ne sont pas des saints, nombre de fois, ils ont été pris la main dans le sac ici ou là dans la commune, beaucoup d’entre eux ne travaillent  pas et se nourrissent de rapines et aides sociales.

Pourtant, lorsque la situation devient aussi tendue et dramatique, devons-nous leur tourner le dos sous prétexte qu’ils ne sont pas politiquement corrects ?

 

Non, vous n’êtes pas des chiens ...

 

 


 

 

 

 

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5 décembre 2010 7 05 /12 /décembre /2010 16:48

 

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la photo est de piètre qualité

mais le sujet est amusant, non ?

mon truc en plumes ? non mon truc en algues

bon, pas sur que ça fasse une chanson très glamour

 

 


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4 décembre 2010 6 04 /12 /décembre /2010 00:40

http://gallery.me.com/nymphea4/100769/132-3242_IMG.jpg?derivative=medium&source=web.jpg&type=medium&ver=12908800310001

 

 

 

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3 décembre 2010 5 03 /12 /décembre /2010 13:10

http://gallery.me.com/nymphea4/100769/132-3237_IMG.jpg?derivative=medium&source=web.jpg&type=medium&ver=12908800190001

 

 

 

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1 décembre 2010 3 01 /12 /décembre /2010 14:29

 

 

ne jamais oublier, faire l'autruche

ou croire que "cela n'arrive qu'aux autres"

 

alors, aujourd'hui, par ce grand froid, à double titre

"Sortons couvert "

 

 


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Un Peu De Moi

  • : dépressive utopiste: isabelle
  • : une dépressive redécouvrant le monde semaine après semaine ...Une humaniste qui revit. écrire pour vivre, vivre pour écrire .
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  • isabelle Cassou
  • une depressive idéaliste qui veut croire en l'humain, qui n'acceptera jamais la communication à travers la violence, la guerre. j'ai la chance de vivre dans un pays où je suis libre de dire , d'écrire, le faire est un droit mais surtout un devoir
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Chatouillis méningés

 

 

 

 

 

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Chaque jour est neuf

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Paul Auster

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